Au milieu des tensions croissantes entre systèmes frontaliers et l’incapacité de l’UEE à répondre rapidement aux menaces émergentes, plusieurs officiers et spécialistes de haut rang au sein de la Navy commencèrent à douter de l’efficacité du commandement central. Sans remettre en cause leur loyauté envers les idéaux fondateurs de l’Empire, ces individus ressentaient le besoin d’agir autrement. Pas pour trahir, mais pour protéger — différemment.
C’est ainsi qu’en 2955, un petit groupe d’officiers issus de divers escadrons d’élite, accompagnés de leurs unités les plus loyales, décidèrent de ne pas renouveler leur contrat avec l’UEE. Pas de mutinerie. Pas de trahison. Juste une décision claire : reprendre leur destin en main.
Ce collectif forma alors Squadron 66 — un nom choisi à la fois par attachement à leur passé militaire, et comme symbole de renaissance. Car contrairement à ce que laisse entendre le nom, ils n’étaient plus un escadron officiel, mais les fondations d’une corporation paramilitaire indépendante, structurée et soudée, opérant librement dans les marges de la galaxie.
Squadron 66 n’est pas une organisation à “recrutement ouvert”. On y entre rarement sur simple candidature. Il faut faire ses preuves. Et plus encore, il faut adhérer à un idéal : l’indépendance guidée par le sens de l’honneur.
Malgré ses méthodes parfois contestées — rumeurs de deals tactiques avec certaines factions de Pyro, ou d’interventions hors du cadre légal — la réputation de la 66 repose sur deux piliers :
Fiabilité: Quand la 66 prend un contrat, elle le termine. Toujours.
Cohésion: Ce sont des individus libres, mais unis. Ils se protègent comme une famille.
Certains les considèrent comme des hérétiques idéalistes, d’autres comme des professionnels respectables. La vérité ? Un peu des deux.
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